Exposition Ferrari à MONACO
La principauté de Monaco et plus particulièrement la collection de voitures de S.A.S le Prince de Monaco, accueillait une exceptionnelle exposition Ferrari.
Pas moins de 46 rares modèles de la marque au cheval cabré y sont exposés. Pour la plupart prêtés par de richissimes collectionneurs Suisses, Allemands, Anglais, Italiens et Français mais aussi la concession DPM Motor de Monaco.
La cérémonie d'inauguration s'est bien évidemment déroulée en présences des collectionneurs Franco MEINERS, Luigi BART, Mario LINKE mais aussi de S.A. le Prince Albert II de Monaco ainsi que des pilotes Jean ALESI et Charles LECLERC, ce dernier étant le tout nouveau pilote de la scuderia Ferrari F1 en 2019, et bien sur Philippe RANZINI le conservateur de la collection de voitures du Prince de Monaco.
L'exposition s'articule autour de différents plateaux:
- Formule F1
- Les Ferrari de compétitions
- Les Ferrari de route
Pas moins de 46 rares modèles de la marque au cheval cabré y sont exposés. Pour la plupart prêtés par de richissimes collectionneurs Suisses, Allemands, Anglais, Italiens et Français mais aussi la concession DPM Motor de Monaco.
La cérémonie d'inauguration s'est bien évidemment déroulée en présences des collectionneurs Franco MEINERS, Luigi BART, Mario LINKE mais aussi de S.A. le Prince Albert II de Monaco ainsi que des pilotes Jean ALESI et Charles LECLERC, ce dernier étant le tout nouveau pilote de la scuderia Ferrari F1 en 2019, et bien sur Philippe RANZINI le conservateur de la collection de voitures du Prince de Monaco.
L'exposition s'articule autour de différents plateaux:
- Formule F1
- Les Ferrari de compétitions
- Les Ferrari de route
Dès l'entrée je suis saisi par cette immensité "rouge" !!! J'en ai la chair de poule . Magnifique !!!
LES FORMULES 1
Ferrari Dino 246 F1 (1958) : conçue par les ingénieurs italiens Vittorio JANO et Alfredo "Dino" FERRARI en 1957 pour le compte de la Scuderia Ferrari qui l'a engagée en championnat du monde de Formule 1 en 1958. Elle a prie le départ de 25 Grands Prix de Formule 1 entre 1958 et 1960 et a permis à ses pilotes de décrocher 5 victoires, 28 podiums, 7 pole positions et 10 records du tours. Mike HAWTHORN est devenu champion du monde des pilotes à son volant en 1958.
La voiture exposée est celle de Phil HILL au Championnat de Monde 1960.
La voiture exposée est celle de Phil HILL au Championnat de Monde 1960.
FERRARI 312 F1 (1967) : Surnommée " Spaghetti" a cause de ses sorties d'échappements. Moteur V12 de 3.0l. Sa puissance était d’environ 330 ch. La saison commença mal pour Ferrari et la 312 puisqu’au deuxième grand prix disputé à Monaco, Lorenzo BANDINI fut victime d’un grave accident qui lui a occasionné des brûlures auxquelles il n’allait pas survivre.
Dino 166 F2 : moteur Dino 6 cylindres en V à 65° de 1600 cc, 200 cv pour un poids de 425 kg . Pilotée par Chris Amon, Vittorio BRAMBILLA et Jacky ICKX. Cette monoplace disputa la saison 1968.
FERRARI 312 B2 (1971): Motorisé par un V12 à 180°.
Le modèle exposé remporta deux victoires en 1971 et 72 aux mains de Jacky ICKX
Le modèle exposé remporta deux victoires en 1971 et 72 aux mains de Jacky ICKX
FERRARI 312 « SPAZZANEVE (1972) : La première version, présentée à la presse en Août 1972, se voit donner plus tard, par l'ingénieur en chef Mauro FORGHIERI, l'alibi de " voiture-laboratoire ". Les ouvriers de chez Ferrari la surnomment spazzaneve, le chasse-neige, en raison de son énorme aileron et de son aérodynamique. Cette pièce unique appartient à un collectionneur Allemand.
FERRARI 312 B3 (1974) : Moteur central arrière 12 cylindres à plat, puissance 485 cv, pour 578 kg. La 312 B3, avec son empattement raccourci, est une monoplace entièrement revue. Mauro FORGHIERI, concepteur, décide d'abandonner la monocoque en aluminium, nouveauté de la saison précédente, et revient au châssis tubulaire en acier et aluminium.
FERRARI 312 T2 (1977) :Son V12 à 180° de 2992cc ne dispose pas moins de 500ch à 12.200 tr/min
FERRARI F1-86 (1986) : Conçue par l'ingénieur en mécanique Harvey POSTLETHWAITE et l'aérodynamicien Jean-Claude MIGEOT. Elle est pilotée par l'Italien Michele ALBORETO et le Suédois Stefan JOHANSSON. Malgré un moteur à turbocompresseurs KKK de 850 ch considéré comme l'un des plus puissants du plateau, cette monoplace se révèle peu performante.
FERRARI 640 (1989) : Aussi appelée F1-89 elle est la première monoplace dessinée par l'ingénieur britannique John BARNARD pour Ferrari, la 640 est dotée d'un moteur atmosphérique V12 de 715ch. Elle est pilotée par le Britannique Nigel MANSELL, en provenance de l'écurie et l'Autrichien Gerhard BERGER.
Les FERRARI de COMPETITION :
FERRARI 225 S (1953) #0172ED : 20 exemplaires dont 14 en « barchetta », moteur V 12 Colombo 2.7 L, puissance entre 210 et 250 cv, Carrosserie en alu de 815 kg.
FERRARI 500 Mondial SCAGLIETTI (1955) #0506MD : Le premier véhicule a été fabriqué par un jeune carrossier de Modène nommé SCAGLIETTI, qui s’est inspiré d’un design de Dino Ferrari pour remettre au goût du jour l’ancienne 166 qu’il avait reçue de son père. Animé par un moteur de 165 cv et 720 kg qui a roulé aux USA aux 12 Heures de Sebring.
FERRARI 500 Mondial PININFARINA (1954) #0458MD : cette voiture a participé au Tour de France 1954. Et aux Mille Miglia 1957 avec Jean Guichet.
FERRARI 857S Monza SCAGLIETTI (1956) : La 857 était équipée de la version du légendaire 4 cylindres en ligne offrant la plus grosse cylindrée, qui a fait ses débuts en remportant le Championnat du monde en 1952 et 1953, puis a hérité d’un 3 litres présentant les mêmes dimensions externes.
Les quelques modèles Type 857 S fabriqués ont servi de base au développement du modèle suivant, le Type 860 Monza.
FERRARI 250 GTO (1962) #3527GT : sortie de l’usine en mai 1962, cette GTO a des finitions plus soignées par rapport aux versions prévues pour la compétition : glaces descendantes à la manivelle – moquette au sol – sièges en cuir. C'est la plus célèbre FERRARI, et l'une des plus victorieuses, toutes époques confondues. Sa carrosserie est l'œuvre de SCAGLIETTI et de BIZZARINI. Le "O" de sa dénomination signifie Omologato. Bien plus q'un modèle, cette voiture représente le véritable emblème des Ferrari grand tourisme de compétition. La GTO naît dans une période où la concurrence met au point des solutions techniques innovantes. Maranello mise pour sa part sur un élément "sûr" et développe le V12 de la TestaRossa afin de le rendre plus fiable pour affronter les courses d'endurance.
#3527GT est à ce jour, la voiture la plus chère au monde lors des ventes aux enchères en Europe ou Etats unis, avec une adjudication récente à 70 millions de dollars.
Au total, 36 exemplaires seront produits : 33 en 1962 et 1963, plus 3 autres en 1964.
308 GTB Groupe 4 : L'extraordinaire histoire sportive de FERRARI s'est aussi écrite avec les rallyes, grâce à la détermination de certains passionnés qui ont investi leurs propres capitaux pour faire gagner le cheval cabré également dans cette catégorie. Moteur V8 atmosphérique en position centrale de 3 L de 320 cv, châssis tubulaire et carrosserie en polyester pour un poids 1080 kg sur la balance soit 300 de moins que le modèle de série. Préparé par Michelotto, les débuts en compétition ont lieu à la Targa Florio en 1978. Pour la première victoire il faut attendre le rallye de Monza en 1979 remporté par Raffaele PINTO.
FERRARI 512 BB LM (1979): En 1974, le patron du North American Racing Team (NART), Luigi CHINETTI, développa une variante de course de la 365 GT4 BB pour remplacer les 365 GTB/4 Daytona de l'équipe pour une utilisation dans les courses de voitures de sport. La voiture du NART fit ses débuts aux 24 Heures de Daytona en 1975 avant d'obtenir une sixième place aux 12 Heures de Sebring deux mois plus tard. Ferrari travailla sur l'amélioration de la BB LM avec un second programme de développement à la fin de 1978. Le modèle ci dessous est sortie de l'usine le 3 février 1979 pour le Team US, le célèbre NART (North American Racing Team) de Luigi CHINETTI.
FERRARI 333 SP (1994) : moteur V 12 4 L basé sur le moteur type 641 de la F1, développe 650 cv. Après une absence de vingt deux ans, FERRARI décide de raviver l'une de ses plus anciennes traditions: produire des voitures Sport-Compétition destinées à ses clients passionnés de hautes performances. Très moderne, la voiture est dotée d'une structure en carbone , d'un moteur dérivé de celui de la F1 et d'une boite de vitesses à commande séquentielle. Elle se révèle gagnante et remporte le championnat IMSA en 1995.
FERRARI 512S (1970) : Construite à 26 exemplaires, ce modèle est présent dans le film « Le Mans » avec Steve Mac Queen.
312 PB Proto Boxer (1972): moteur V 12 boxer 3 L pour 480 cv et 585 kg, barquette conçue en polyester châssis semi-monocoque. Construite à 11 exemplaires, elle obtient le titre de Championne du monde 1972 des voitures de Sport en signant 10 victoires. Les pilotes comme Ickx-Merzario-Pace-Redman et Munari s’illustreront à son bord.
FERRARI 365 GTB/4 Gr4 Daytona (1972) : FERRARI conçoit, au début des années 1970 la version compétition d'un modèle d'exception, doté, en outre d'excellentes qualités routières. Destiné de préférence aux pilotes privés, la 356 GTB/4 est homologuée dans le Groupe 4 le 1er janvier 1972, soit quatre mois après la réalisation du 500eme exemplaire.
FERRARI 275 GTB (1964) : Construite pour briller dans la catégorie Grand Tourisme, la première 275 GTB obtient un éclatant succès dès sa sortie. Produites de 1964 à 1968, les Ferrari 275 remplacent les mythiques Ferrari 250, dont elles reprennent le moteur V12 dit "Colombo". La carrosserie fut dessinée par PININFARINA, en reprenant certaines des caractéristiques de la Ferrari 250 GTO, telles que la silhouette définie autour d'un long capot abritant le moteur et d'un habitacle reculé, les ouïes d'aération latérales ou encore l'arrière fortement incliné.
FERRARI 246 SP (1961): La première victoire pour ce modèle à moteur central 2.4 L, est la Targa Florio 1961 avec Gendebien – Von Trips.
FERRARI 250 LM (1965) : Présentée à PARIS en novembre 1963, la Ferrari 250 LM est une déclinaison Grand Tourisme de la Ferrari 250 P . Destinée à remplacer la victorieuse 250 GTO, elle ne connaîtra pas les heures de gloire des modèles précédents. L'homologation de la 250 LM en Grand Tourisme ayant été refusée par les instances internationales de l'époque, elle fut condamnée à se battre avec les prototypes qui la surclassait . Propulsée par un V 12 de 3.3 l développant 320 cv. Produite à 32 exemplaires.
FERRARI 250 GT SWB Competizione (1961) : Apparue en 1959, elle devient la première automobile connue sur le plan international pour ses victoires en Grand Tourisme. À l'image des précédents modèles, la 250 GT Berlinetta SWB est dessinée par PININFARINA. Le moteur de la 250 GT Berlinetta SWB est le traditionnel moteur V12 ouvert à 60°, alimenté par trois carburateurs double corps Weber. Il développe entre 240 et 260 ch.
FERRARI 250 GT berlinetta TdF (1958) #0973GT : Apparue en 1956, la 250 GT Berlinetta « Tour de France » est elle aussi le fruit des carrossiers PININFARINA et SCAGLIETTI. Elle termine à la 7eme place au Tour de France 1958 et victorieuse au coupes de Monthlery la même année.
FERRARI 430 GTC Evo (2008): V 8 4.3 l 490 cv. Une version homologuée pour la course, inscrite dans de nombreux championnats FIA GT.
LES FERRARI DE ROUTE:
FERRARI 250 GT PF (1959) #1823GT : exemplaire unique réalisé pour le Prince Charles de Belgique. Venu la chercher lui-même à l’usine, il a choisi de la faire équiper d’un moteur de 4.0 l. au lieu du 3.0 l en origine.
FERRARI 250 GT California LWB (1960): ce spyder châssis long était destinée à la clientèle américaine. Vivant à Los Angeles, Luigi CHINETTI, importateur de la marque avait su convaincre Enzo FERRARI que de nombreux américains voulaient profiter des performances de ces bolides.
FERRARI 250 GT coupé (1958) : La 250 Gt a joui d'une longévité particulièrement importante. Son succès commercial et sa réputation sont en réalité étroitement liés à la production " presque en grande série " que le constructeur de Maranello lance en 1958, un modèle produit à 350 exemplaires. La ligne de la 250 GT Coupé PININFARINA est à la fois simple et élégante. Motorisé par un V12 de 3.0l pour 340 ch.
FERRARI 250 Cabriolet série II (1962) : Ce modèle appartient au Prince Albert II de MONACO. Cette série II dévoilée au Salon de Paris en 1959 fut produite à environ 200 exemplaires jusqu’en 1962. La 250 GT Cabriolet est le premier cabriolet construit en série par Ferrari. Il s'agit, à l'époque, de la plus chère des Ferrari 250 GT.
FERRARI 365 GTS Daytona Spider (1969 ) : elle entre dans la légende en étant la voiture de sport la plus puissante et rapide au monde de son époque, en concurrence avec la Lamborghini Miura. La Ferrari 365 a été surnommée Daytona par les médias, en souvenir de la triple victoire historique de Ferrari aux 24 Heures de Daytona aux États-Unis en 1967, avec la victoire du prototype Ferrari 330 P4 piloté par Lorenzo BANDINI et Chris AMON, face aux Ford GT40. Cette dénomination n'est cependant pas reconnue officiellement par la marque.
FERRARI 330 GTC (1968) : La 330 GTC Coupé a été dévoilée au Salon de l’automobile de Genève de 1966. Elle a été conçue par Pininfarina . Motorisé par un V12 de 4.0 l pour une puissance de 300ch.
FERRARI 400 Superamerica (1963) : Déclinée en deux séries entre 1960 et 1964, la 400 Superamerica était l’un des modèles phares de la marque qui ont été produits pour satisfaire la clientèle. Le chiffre « 400 » faisait en effet référence à la cylindrée totale du moteur 4 litres. Cette Ferrari est l’une des plus convoitées par les grands de ce monde comme le Prince Aga Khan ou le Président Argentin Juan PERON.
FERRARI 250 GT Lusso (1964) : fabriquée entre 1963 et 1964 pendant 18 mois avec un total de 351 exemplaires, c’est un coupé 2 places. Elle clôt l’histoire de la génération des 250 GT. Elle est dessinée par le carrossier turinois PININFARINA et carrossée par SCAGLIETTI.
DINO 246 GT (1973) : 24 pour 2,4 Litres, et 6 pour 6 cylindres est une voiture de sport GT. Présentée au Salon international de l'automobile de GENEVE 1969, elle succède aux Dino 206 GT de 1968, et est produite à 3761 exemplaires de 1969 à 1974.
FERRARI 365 GTC 4 (1971) : Elle est présentée au Salon de Genève en 1971. C'est une GT dotée d'un moteur V12 longitudinal à l'avant à 4 arbres à cames en tête directement dérivé de celui de la Daytona.
FERRARI 512 BBi (1982) : En raison de la nouvelle réglementation antipollution américaine de 1981, les quatre carburateurs Weber triple corps sont remplacés par un système d'injection Bosch K-Jetronic et la nouvelle voiture renommée 512 BBi. L'injection adoucit le caractère du moteur à 12 cylindres à plat dont la puissance chute à 340 chevaux (contre 360). 1 007 exemplaires sont produits jusqu'en 1984 et le remplacement de la BBi par la Testarossa.
FERRARI Testarossa (1984) : Présentée au Mondial de l'automobile de Paris en 1984. Un mélange idéal d'élégance et de sportivité. Elle est motorisée par une évolution du moteur 12 cylindres à 180° de la 512 BB, poussé à 390ch, monté en position centrale arrière. 0 à 100 km/h en 4,8 secondes.
FERRARI 288 GTO (1984) : Une nouvelle GTO arrive à Maranello en 1984. FERRARI crée un modèle coupé dérivé de la 308 GTB et doté d'un moteur biturbo de 400ch. Destinée à l'époque, une fois préparée, à courir dans le FIA Groupe B, elle fut produite à seulement 272 exemplaires et sa version "Evoluzione" pour le Groupe B servit de base de développement à la F40.
FERRARI F40 (1990) : Pour fêter un anniversaire important, le quarantième de la marque, et défier la concurrence, la firme de Maranello réalise une supercar routière particulièrement performante et dotée, en outre, de la technologie de pointe de l'époque. C'était une voiture destinée à une clientèle très fortunée. Compte tenu de son caractère commémoratif, FERRARI pensait limiter la production à 400 exemplaires. Mais le succès de la F40 fût tel que le constructeur dut modifier ses plans et produisant 950 voitures en six ans (1987 à 1992). Beaucoup de clients achetèrent ce modèle grâce au" marché noir des réservations" , celles ci étaient alors généreusement cédées à un prix beaucoup plus élevé. Côté moteur, la belle est alimenté par un V8 de 32 soupapes de 3 l de cylindrée développant pas moins de 478 ch. Une puissance record pour l'époque. 324km/h
FERRARI F50 (1996) : En 1995, FERRARI décide d'anticiper les célébration de ses cinquante ans d'activité avec une "supersportive" dotée d'une technologie de formule 1. Seulement 349 exemplaires seront produit que tous les passionnés du monde entier se disputent. Présentée au salon de GENEVE en 1995, il ne suffit pas d'avoir une considérable disponibilité économique pour s'en porter acquéreur. Il faut aussi prouver que l'on est un vrai connaisseur des FERRARI. Si la F40 marquait un pas en avant en terme de prestation, la F50 est encore plus extrême, très proche des technologies de la F1 de l'époque. Son moteur, 12 cylindres en V (65°), développant une puissance de 520 ch en fait la FERRARI de route la plus rapide et la plus puissante en 1995 (325km/h)
FERRARI ENZO (2002) : Cette voiture a le privilège de porter le nom du fondateur de l'écurie de Maranello. Après la F40 et la F50, elle constitue le nouveau chef-d'oeuvre technologique du cheval cabré. Elle deviendra rapidement la référence en terme de voiture à hautes performances. C'est nullement un hasard si la nouvelle "ENZO" a été baptisée par Michael SCHUMACHER en personne. Selon le cavallino, cette extraordinaire voiture ne pouvait être mise au point sans les conseils et les commentaires de l'un des champions du monde de F1 les plus titrés, Michael SCHUMACHER en l'occurrence. Il a ainsi parcouru des centaines de kilomètres sur les circuits du Mugello et de Fiorano, donnant de précieux renseignements aux ingénieurs afin de peaufiner l'auto.
Un moteur atmosphérique de 5998 cm3 développant 660ch, une puissance jusque là inégalée sur une Ferrari de série. 350km/h
FERRARI 599 GTO (2011) : Adaptation de la 599XX de circuit, elle a été la plus puissante des Ferrari de route jamais produites avant l'arrivée en 2012 de la F12berlinetta. Une version roadster a été produite sous le nom de 599 SA Aperta. Officiellement lancée au salon de Pékin en 2010. Elle reprend le sigle GTO " Gran Turismo Omologato " de la 250 GTO de 1962 et la 288 GTO de 1984, à la différence que la 599 GTO n'a pas été conçue pour être homologuée en compétition. Son moteur 12-cylindres en V à 65° disposé à l'avant développe la puissance de 670 ch.
FERRARI "LaFerrari Aperta" (2016) :Présentée au mondial de l'automobile de Paris en 2016, la nouvelle série spéciale du cheval cabré, en édition limitée est conçue avec un toit rigide en fibre de carbone et un toit souple. La voiture présente les mêmes performances en matière de train de roulement et de performances que la LaFerrari d'origine, arborant un moteur thermique V12 à 65° de 6 262 cc de cylindrée équipé de quatre soupapes par cylindre et développant une puissance maxi de 800 cv à 9 000 t/mn (avec une puissance spécifique de 128 cv / l). Ce moteur est couplé à un moteur électrique de 120 kW (163 cv), pour un total de 963ch.
FERRARI F12 TdF Berlinetta (2018) : La F12 TdF est un modèle spécial basé sur la Ferrari F12 berlinetta. Produite à 799 exemplaires. Elle rend hommage au Tour de France automobile, la légendaire compétition d'endurance dominée par Ferrari dans les années 50 et 60, notamment avec la 250 GT Berlinetta de 1956 qui a remporté quatre éditions consécutives. Les performances de la F12 TdF sont assurées par le V12 à aspiration naturelle de 780 chevaux, descendant direct du moteur de la F12berlinetta.
C'est vraiment une très belle exposition avec des modèles inédits. Je n'ai jamais eu l'occasion de voir un tel plateau de Ferrari de route et de compétition, venues du monde entier, pendant si longtemps dans un même lieu. On en ressort émerveillé !!!!